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  • 3ième marché aux plants Bio à la ferme maraîchère de Biau Jardin Samedi 10 mai de 9h à 18h

    Je me permets de vous transmettre l’information du 3° marché aux plants bio qui aura lieu le samedi 10 mai 2025 à la ferme maraichère de Biau Jardin à Gerzat, avec 2 conférences ( une sur les blés et le gluten et l’autre sur l’alimentation avec les 4V- variée, vraie, végétal et vivante) et 2 visites guidées de la ferme maraichère. La boutique à la ferme sera ouverte toute la journée.

    Pour Biau Jardin, Eliane Anglaret, bénévole.

  • Projet d’augmentation de la capacité de l’incinérateur de 150000 tonnes par an à 170000 t/an.


    C’est le Jackpot pour les profits de l’entreprise Vernéa/Suez !

    Rappelons que la limite de 150 000 t/an a été imposée par un jugement du Tribunal Administratif du 5 mai 2009 et confirmée par l’Arrêté Préfectoral du 20 mai 2009. Depuis, le civisme des citoyens a fait diminuer la quantité de déchets apportée par le Valtom (ce sont les seuls déchets prioritaires définis par le contrat de Délégation de Service Public) pour se chiffrer en 2024 à peu prés 130000 t. L’incinérateur est donc en sur-capacité !

    Déjà pour 2024 une lettre non publiée de la préfecture datée du 06/11/24 a autorisé par dérogation un dépassement de 4000 t pour « éviter » un arrêt de production d’électricité et de chaleur vendue par Vernéa/Suez. Cette lettre légitime la « mauvaise » gestion de l’industriel qui n’a pas utilisé les éléments de lissage des flux dont il dispose : capacité des fosses,stockage en balles, étalement des flux non prioritaires comme les déchets du Cantal et les DAE de Suez. Cette dérogation est donc injustifiable! Il n’y a pas de problème technique mais il s’agit seulement de pallier à un manque à gagner. La préfecture a donc choisi de faire un cadeau financier contre une augmentation de la pollution. A la même période, une délibération du conseil syndical du Valtom du 17/12/2024 a décidé en toute connaissance de ce trop plein de déchets, d’incinérer à l’avenir la totalité des ordures de la communauté de communes d’Aurillac. Cela démontre la volonté du Valtom d’augmenter la capacité de l’incinérateur. Il y a la une concertation entre Suez, le Valtom et l’Etat pour aggraver la pollution locale.

    Pour les prochaines années, les motifs invoqués par le tandem Valtom-Vernéa/Suez pour justifier ce projet sont les suivants :

    – injecter les lixiviats (les jus sales) des décharges dans le four (12000 t/an). Cela revient à brûler de l’eau et a pour inconvénient de dégrader la qualité de la combustion et donc d’augmenter le taux de pollution. Pourtant le très récent Arrêté Préfectoral du 4 mars 2025 prolongeant l’activité de la décharge de Puy Long de 25 ans imposait un traitement des lixiviats plus classique par filtration. La solution économico-industrielle va s’imposer pour abonder les profits de Suez.

    • augmenter les Déchets d’Activité Economique des clients privés de Suez (20000 t/an).
    • importer par camions 15000 t/an les déchets de la communauté de communes d’Aurillac (Cantal). La « solidarité » invoquée par le Valtom en 2024 devient une solution pérenne.

    Cette augmentation de 13,3% entraînera un surplus de pollution dans la même proportion. La diffusion dans l’atmosphère de 200000 t/an de CO2 deviendra 226700 t/an. De même si les autres polluants respectent les valeurs limites d’émission, elles augmenteront en quantité dans la même proportion. Ce sera aussi le cas pour les mâchefers remplis de produits toxiques que l’ on étale partout sous les routes, chemins et plateformes industrielles, passeront de 26000 t/an à 29700 t/an. Même situation pour les rejets d’épuration des fumées très toxiques, stockés dans des décharges spéciales dont l’étanchéité n’est pas éternelle.

    Le tandem Valtom-vernéa/Suez veut faire passer cela pour une modification mineure sans enquête publique ni étude environnementale !

    Puy de Dôme Nature Environnement a participé à la réunion de la Commission de Suivi du site de Vernéa du 11 avril et s’est opposé à ce projet mais le poids des associations est très faible dans cette instance où la plupart des élus représentants le Valtom et des administratifs n’ont jamais contesté les appétits de Suez. Cette réunion a confirmé nos craintes, le Valtom « assume » cette « optimisation » de l’usine et la préfecture n’y voit pas d’obstacle réglementaire. La communauté de communes d’Aurillac aurait demandé à faire partie du Valtom à la grande satisfaction du président du Valtom !

    Néanmoins, suite à notre demande, aucun décideur n’a pu nous faire connaître l’existence du bon fonctionnement de l’incinération des lixiviats, nos recherches en la matière ayant échouées. On a donc affaire à un projet aventureux avec tous les risques que cela comporte.

    Cette commission ne donne qu’un avis, c’est le préfet qui en décidera tout seul.

    Une mobilisation populaire est indispensable pour exiger un débat public,faire valoir l’intérêt général et la défense de l’environnement.

  • Le nouveau Sèves 64 est paru

    Citoyens-habitants de la Métropole, prenez en main votre avenir en faisant
    vos observations sur le site internet de Clermont-Auvergne-Métropole
    (https://www.enquetepublique-plui-clermontmetropole.fr ) ou sur place dans
    toutes les mairies de la Métropole.

  • Pétition « Face au Nucléaire, protégeons nos Terres »

    https://www.sortirdunucleaire.org/Petition-Face-au-nucleaire-protegeons-nos-terres-615

  • Manif contre la disparition de l’agence bio de 10h à 12h30 devant la Prefecture de Clermont-Ferrand

    https://www.lemonde.fr/idees/article/2025/01/30/la-disparition-de-l-agence-bio-enverrait-un-signal-de-desengagement-de-l-etat-qui-serait-catastrophique_6523364_3232.html

  • Le Sénat et le gouvernement veulent supprimer l’Agence bio

    Le Sénat a voté pour la suppression de l’Agence bio. Cette coupe budgétaire est insensée alors que l’agriculture biologique traverse une crise, dénoncent les acteurs de la filière.

    « Ce sont des économies de bout de chandelle ! », s’insurge le président de la Fédération nationale de l’agriculture biologique (Fnab). « Un nouveau signal négatif aux producteurs et productrices bio », déplore la Confédération paysanne dans un communiqué du 20 janvier. L’objet du courroux : l’adoption par le Sénat dans la nuit du 17 au 18 janvier d’un amendement supprimant les crédits de fonctionnement de l’Agence bio, l’Agence française pour le développement et la promotion de l’agriculture biologique.

    Afin de réduire les coûts et le nombre d’opérateurs publics comme le souhaite le gouvernement, ses missions pourraient être confiées à France AgriMer, un établissement public.

    Au cours des débats, Annie Genevard, la ministre de l’Agriculture, a jugé l’idée « évidemment intéressante et même tout à fait pertinente » dans son principe, et s’en est remise à la sagesse du Sénat pour le vote. « Une réaction totalement scandaleuse », considère Générations futures dans un communiqué. Pour l’ONG, la ministre aurait dû donner un avis défavorable à cet « amendement scélérat ».

    De minuscules économies

    « On est dans l’incompréhension totale. Il y a quand même 1 agriculteur sur 6 qui est en culture bio, dit à Reporterre Jean Verdier, président de l’Agence bio et membre du Synabio [1]. La filière compte 22 000 entreprises et 250 000 emplois. Et pendant le week-end, on apprend par une dépêche AFP que l’Agence va être supprimée, sans explication, ni rien ! »

    Philippe Camburet, président de la Fnab, dénonce un esprit de « l’économie à tout-va » et estime que des économies pourraient être faites ailleurs, « par exemple sur des cadeaux fiscaux à des firmes ». Il met en garde : « On risque de se priver du seul outil en mesure de promouvoir l’agriculture biologique et de la faire repartir sur de bons rails. »

    L’économie permise par la suppression de cette ligne du budget semble réduite, a reconnu Laurent Duplomb, sénateur Les Républicains de Haute-Loire et initiateur de cette proposition : « En comparaison des 284 millions d’euros de dette supplémentaire que nous venons de voter, cet amendement va paraître de bien faible portée. » En effet, les crédits supprimés s’élèveraient exactement à 2 908 670 euros.

    Lire aussi : Aides à la bio : l’État condamné pour procrastination

    Une agence dotée de multiples missions

    En revanche, cette coupe budgétaire pourrait avoir des conséquences graves pour toute la filière bio, alors que cette dernière commence tout juste à repartir après trois ans de crise. La décision est qualifiée de « brutale » et de « non-sens » par l’ensemble des organisations professionnelles réunies au sein de l’Agence. « L’agence a aujourd’hui trois grandes missions et on ne voit pas très bien comment elles seront remplies demain », s’inquiète Jean Verdier.

    La première consiste à promouvoir l’agriculture bio. Ainsi, à l’occasion du prochain Salon de l’agriculture, l’Agence doit relancer sa grande campagne BioRéflexe en faveur des produits bio. « Cette campagne de promotion est absolument nécessaire pour relancer la demande, dit Philippe Camburet. La feuille de route a été établie, elle est orchestrée, les rôles sont distribués. Ce n’est pas le matin de la première qu’on réorganise la troupe de théâtre ! »

    L’organisme centralise aussi toutes les données du secteur bio, les analyse et les diffuse à travers un observatoire et des rapports. « Le bilan n’étant pas extraordinaire — puisqu’on va probablement perdre des surfaces en agriculture biologique cette année —, je ne suis pas sûr que le gouvernement ait envie d’avoir un indicateur très précis et en temps réel de ces mauvaises performances », analyse le président de la Fnab.

    Enfin, l’Agence accompagne de nombreux projets de développement de la filière bio via le fonds Avenir bio, doté de 18 millions d’euros en 2024. « En quinze ans, nous avons distribué 120 millions d’euros, dit Jean Verdier. L’effet de levier est important : quand on met 1 euro, ça permet à l’entreprise de lever environ 4 euros. L’Agence bio est considérée comme un garant : la Région abonde, les banques prêtent, les investisseurs sont intéressés… »

    Appel à la démission d’Annie Genevard

    Face aux réactions négatives, le ministère de l’Agriculture se veut rassurant : « Si une rationalisation des coûts de fonctionnement s’avère nécessaire, elle ne peut être réalisée sans une réflexion approfondie et partagée. » La ministre s’engage à ce que les missions actuellement portées par l’Agence bio soient poursuivies « de manière optimale, même en cas de regroupement », assure son cabinet.

    Ces engagements risquent de ne pas convaincre des organisations déjà échaudées par les déclarations récentes de la ministre sur son projet de simplifier « les normes ». « Cette possible suppression [de l’Agence bio] participe des retours portés par certains responsables syndicaux, des parlementaires et le gouvernement au sujet des défis environnementaux pour l’agriculture », estime ainsi la Confédération paysanne.

    Pour Générations futures, Annie Genevard « apparaît chaque jour davantage comme une simple courroie de transmission [de la FNSEA] au sein du gouvernement ». L’ONG demande sa démission.

    La pétition pour refuser la suppression de l’agence bio est là:
    https://soutien-agencebio.agirpourlenvironnement.org/

  • Rapport d’inspection DREAL suite à l’inspection du 4/12/24

    Comme demandé lors de la dernière CSS du pôle VERNEA, je vous prie de trouver ci-joint le rapport d’inspection DREAL faisant suite à l’inspection du 04 décembre 2024.
    Celui-ci et les précédents rapports d’inspection sont par ailleurs téléchargeables depuis le site GEORISQUES : https://www.georisques.gouv.fr/risques/installations/donnees/details/0005601686


  • Enquête publique du PLU de la Métropole

    L’enquête publique du PLU de la Métropole aura lieu du lundi 17 février 2025 à 10h00 au vendredi 28 mars 2025 12h00.

    Vous pouvez retrouver toutes les informations relatives à l’enquête sur : https://plu.clermontmetropole.eu/enquete-publique/


    Avis de Paysages de France à lire bientôt sur

    https://www.paysagesdefrance.org

  • Rapports provisoires rédigés par le post-doctorant Pierre Nevers sur l’impluvium de Volvic

    Je vous prie de bien vouloir trouver ci-joints les rapports « provisoires » rédigés par le post-doctorant Pierre Nevers concernant l’étude menée à l’échelle de l’impluvium de Volvic. Une version définitive, intégrant des compléments, vous sera transmise au cours du 1er trimestre 2025.
    Vous trouverez également joint le diaporama synthétique présenté lors du comité technique élargi du 21 novembre 2024.
    Les fichiers seront disponibles jusqu’au mercredi 15 janvier 2025 à 17:31 (CET).

  • Projet de Plan Local d’Urbanisme intercommunal de la métropole

    La métropole clermontoise comptant 285 000 habitants et composée de 21 communes et arrive à la fin de la procédure d’établissement de son premier Plan Local d’Urbanisme intercommunal (PLUi). Il s’imposera courant 2025 à toutes les communes de la métropole.

    Les nombreux documents encore provisoires (énormément de documents écrits et 40 plans qui le constituent) devaient être validés définitivement cet automne par les municipalités qui pouvaient encore y apporter de menues modifications. La quasi totalité des Conseils Municipaux (Nohanent excepté) les ont approuvés, faute de compétence pour les contester ou les critiquer, faute d’avoir pris la peine de les étudier, faute de temps peut-être, si l’on veut excuser les élus. A leur décharge la complexité des documents que seuls des techniciens peuvent aisément déchiffrer. Pourtant des associatifs se lancent dans cette étude approfondie et en comprennent l’essentiel.

    Les documents éventuellement amendés (nous l’espérons) seront rendus publics pour l’enquête publique légale qui se tiendra en février, mars ou avril de 2025. D’un minimum d’1 mois, on peut espérer que les élus choisissent une durée plus longue, possible. La démocratie le justifierait amplement tant ces document sont volumineux, assez complexes et consultables principalement via internet, Quelques associatifs dont deux adhérents de PDDNE ont étudié ces documents provisoires, et un adhérent de Greenpeace, architecte de profession – ce qui est bien utile dans pareil cas – et ont faite part le 31 octobre 2024 à la Métropole de leur analyse afin d’obtenir des modifications.

    La contribution du collectif ACTESS à laquelle Puy de Dôme Nature Environnement a fortement participé est en fichier ci joint.

    Nous savons d’expérience que le projet officiellement soumis à l’enquête publique a assez peu de chances d’évoluer véritablement vers nos propositions si nous ne créons pas une importante mobilisation qu’il faut lancer dès maintenant.

    Ce texte fait référence à des pages au document « règlement » qui fait partie du dossier complet du projet de PLUi de la CAM que vous pouvez retrouver en utilisant le lien suivant :

    https://plu.clermontmetropole.eu/mediatheque/‌

    Utilisez ce texte pour dialoguer avec vos élus de proximité.

    Faites-nous remonter vos remarques en vue d’aider la population à rédiger leur contribution à la future enquête publique.

    Amicalement.

    Roger