Environnement

  • L’ADIL présente Negawatt

    Le 31 mai 2017, l’ADIL présente le dernier scénario de l’association Negawatt. La sobriété énergétique est le point de départ, et la base, de près de 20 ans de réflexions et de calculs minutieux.
    C’est, en ce mois de mai, la première fois que Negawatt est présentée au public par une institution.
    Cherchez des infos sur google; elles sont nombreuses, et les contradicteurs patentés n’apparaissent qu’à la 6° page !
    Il n’empêche, Negawatt et son confrère Global Chance sont des adversaires résolus du nucléaire.
    Petit éclairage historique…

  • Taupiers actualités

    Le 1er avril 2017, Fulgence a reçu un courrier d’Ombeline Sagamore qui nous donne un aperçu futuriste de la lutte sans fin contre les taupiers.
    Lire ci-dessous

  • La Fredon et le Zéro phyto

    Depuis le début du siècle, les statistiques sont stables : les usagers non agricoles utilisent 10% des pesticides déversés en France (jardins, entreprises publiques comme la SNCF). Et cela, malgré l’augmentation continue des usages agricoles et la diminution réelle des autres, en particulier les villes. Lancé au début des années 2000, un peu partout dans le désordre, l’enjeu « zéro phyto » est remis à l’honneur en 2012. Qui va mener la lutte contre les indésirables de nos trottoirs et de nos parcs ? Les élus, bien sûr. Mais qui va les conseiller ? Les associations d’environnement ou les professionnels des « phytosanitaires » ?

  • Publicité, intox et géranium

    Acidepélargonique

    Publicité, intox et géranium

    Les nouveaux commerçants du Système-U annoncent (pub de jan 2017) qu’ils ont supprimé les « produits jardin à base de glyphosate », et (sur leur site), qu’ils remplacent le glyphosate par de l’acide pélargonium, un produit phytosanitaire « biocontrôle », étant une substance naturelle.
    L’année 2017 commence en fanfare : Une partie non négligeable de la grande distribution s’oppose avec intelligence et de façon positive à l’imprégnation généralisée de glyphosate que l’on retrouve dans les urines humaines (à 44%) et aussi dans les bières européennes (à 40%). De plus, le site offre au lecteur un historique bien construit de « l’exposition par le régime alimentaire » qui fait de nous un produit humain à base de glyphosate. Au secours ! Super-U répond présent.
    Bien
    Il s’agit réellement d’un produit controversé, au point que l’EFSA a fixé, en novembre 2015 « une dose aigüe de référence » de 0,5 mg/kg de poids corporel, comme si l’on pouvait, par mégarde, en avaler autant, comme de la mort-aux-rats. Le glyphosate n’est pas comme du sel de table et son ingestion se fait sans le savoir par notre alimentation.
    Oui, mais…
    Le glyphosate, tombé dans le domaine public en 2000, est proposé par la plupart des industriels sous des formulations différentes. Depuis 2012, il attend une ré-homologation qui tarde à venir « à cause de retards » qui ne sont pas expliqués. Ces « retards » recouvrent une lutte déjà ancienne des opposants écologistes puisque la première condamnation pour publicité mensongère du roundup (dont la molécule est le glyphosate) date de 1998, à New-York. Il est vrai que les opposants pointent les dégâts sur l’environnement et seulement récemment sur l’ingestion par l’alimentation.
    Donc
    Les campagnes virulentes des ONG d’Europe et de France remontent, pour Super-U, aux années 2015 et 2016. Même si, plus bas, l’on apprend que les analyses d’urine datent de 2013. Cela permet ( ?) de passer sous silence les travaux de l’équipe de Séralini puisqu’ils ont été ré-acceptés en 2015. Super-U a la mémoire sélective bien qu’il mentionne la très controversée déclaration du CIRC sur l’action cancérogène probable. Et la plainte de Générations Futures pour « tromperie aggravée » du 18 mai 2016.
    Le positionnement de Super-U conclut fermement cet historique abrégé :
    « Compte tenu des attentes des consommateurs, des controverses sanitaires, sociétales et environnementales sur le sujet Super-U a éliminer {sic} de son offre MDD le glyphosate depuis 2015 et, au regard de ses convictions, a souhaité aller plus loin en stoppant la commercialisation des produits NM possédant cette molécule dès 2017 ». L’acide pélargonium, issu d’une substance naturelle, produit « biocontrole » remplace le si décrié glyphosate.
    Sauf que
    Un produit phytosanitaire « biocontrôle » attend encore un cadre réglementaire clair. Pour lui, les tests toxicologiques et écotoxicologiques ne sont pas obligatoires et l’acide pélargonique mis au point en 2012 et additionné d’un antigerminatif chimique ne peut pas être déclaré sans danger. Ce n’est en aucune façon un produit naturel et il n’est pas autorisé en culture biologique, ni par la charte Terre Saine.

    La publicité de Super-U est foutrement déficiente :
    Erreur sur le nom du produit
    Les informations fournies sur le site le sont également :
    La composition du désherbant qui remplace le glyphosate n’est pas indiquée. La substance naturelle du pélargonium est additionnée d’un produit chimique, l’hydracide maléique qui est un anti germinatif
    L’emploi du mot « biocontrôle » est trompeur

    Le cortège des pro-pélargonium utilise les mêmes artifices
    Alerte-environnement écrit : « vus avez bien lu : EELV dénonce un ‘pesticide bio’ plus dangereux que le glyphosate ». Et se garde bien de dire qu’il n’est pas autorisé en Bio.
    Le Figaro (25 11 2015) est lyrique : « L’acide pélarnogique {sic} » extrait de tournesol avec des adjuvants aussi ‘biosourcés’, n’est autorisé que dans les espaces publics…

    La meilleure information nous vient de deuxsevres.eelv.fr : « les nouveaux désherbants bio, un miroir aux alouettes » du 19 juin 2015. Un petit tour sur la page 1 de Google ‘acide pélargonique bio’ est aussi amusant qu’instructif, comme vous venez de le lire.

  • Compte Rendu Procès de Dax, 9 janvier 2017

    FAUCHEURS DE CHAISES : LE PROCES DE JON PALAIS SE TRANSFORME EN PROCES DE LA BNP PARIBAS

    Communiqué des Amis de la Terre, d’ANV COP21, d’ATTAC France, de BIZI ! et de Solidaires Finances Publiques
    9 janvier 2017

    Le premier procès d’un faucheur de chaises s’est tenu à Dax cet après-midi. Plus de 2000 personnes et de nombreux soutiens associatifs, syndicaux et politiques sont venus de toute la France pour dénoncer l’injustice fiscale. L’Etat a confirmé la légitimité de l’action de confiscation des chaises en demandant la relaxe de Jon Palais, alors que BNP Paribas a demandé 1 € de dommages et intérêts et a brillé par son absence à l’audience. Le verdict sera rendu le 23 janvier prochain.

    A 13h 20, Jon Palais et ses avocates Eva Joly et Caroline Joly sont entrés au Tribunal de Grande Instance de Dax sous les acclamations d’une foule nombreuse venue soutenir les Faucheurs de chaises. Dans une salle d’audience trop petite pour accueillir les nombreuses personnalités et journalistes présents, Jon Palais a assumé les actions de réquisition de chaises en exposant leur légitimité. Ses deux témoins, Vincent Drezet et Antoine Peillon ainsi que ses deux avocates sont intervenus pour dénoncer les paradis fiscaux, véritable trou noir de l’économie mondiale, le rôle joué par BNP Paribas et la légitimité de désobéissance civile.
    BNP Paribas, à l’origine de la plainte, a requis 1 euro symbolique de dommages et intérêts et décidé de ne pas être présente à l’audience. Une absence qui s’apparente à un aveu de culpabilité de la banque, visiblement dépassée par l’ampleur de la mobilisation citoyenne. Eva Joly n’a pas manqué de rappeler que la BNP Paribas déclare un tiers de ses bénéfices dans les paradis fiscaux et a été impliquée dans de nombreux scandales ces dernières années. L’intérêt porté par la Cour aux arguments sur les agissements de la BNP Paribas a fait basculer le procès de Jon Palais en procès de la banque. L’audience s’est achevée sur l’annonce du délibéré, le 23 janvier.
    Pour les Faucheurs de chaises, cette journée de mobilisation est un succès incontesté. Plus de 2000 personnes se sont rassemblées dès 13 h devant le tribunal avant de déambuler dans les rues de Dax. A partir de 14 h, des personnalités syndicales, associatives, artistiques et politiques sont venues rappeler les enjeux écologiques économiques et sociaux de la lutte contre l’évasion fiscale, au niveau national et international, tandis que conférences gesticulées et concerts apportaient une dimension festive et pédagogique à l’événement.
    Le matin, cinq candidats à l’élection présidentielle 1 étaient interpellés sur la fraude et l’optimisation fiscale lors d’une table ronde 2 . Ils et elles se sont engagés à lutter contre l’évasion fiscale, un signal positif pour les Faucheurs qui appellent l’ensemble des candidats à se prononcer sur cet enjeu.
    Les Faucheurs de chaises, dans l’attente du délibéré du 23 janvier, demandent à présent l’arrêt des poursuites contre leurs militants. Ce ne sont pas les Faucheurs ou les lanceurs d’alerte qui doivent être jugés, mais l’évasion fiscale en bande organisée, et le collectif appelle à la mise en œuvre des mesures pour mettre fin à la fraude et à l’impunité fiscale, et pour le financement de la transition écologique et sociale.
    La journée s’est achevée sur un appel à mobiliser lors de la semaine d’action mondiale contre l’évasion fiscale #EndTaxHeaven qui débutera le 3 avril 2017, date anniversaire de la publication des « Panama Papers » et le 11 avril à l’occasion du second procès d’un Faucheur de chaises, Florent Compain, président des Amis de la Terre.

    FaucheursDeChaises #9janvier #EvasionFiscale

    {ICI une photo de groupe à Dax, que les moyens chétifs de Pddne ne permettent pas de reproduire, à rechercher sur le site ATTAC France}

    Note 1 : les candidats suivants ont participé à la table ronde : Yannick Jadot (EELV), Sandrine Charnoz pour Benoît Hamon (PS), Pierre Larrouturou (Nouvelle Donne), Corine Morel-Darleux pour Jean-Luc Mélenchon (La France insoumise), Philippe Poutou (NPA), Charlotte Marchandise (candidature citoyenne).
    Note 2 : https ://Faucheursdechaises.eu/les-revendications/

  • Système-U bannit le glyphosate

    Le Glyphosate selon Système-U

    Quatre grandes pages dans Le Monde du lundi 8 janvier 2017 où « Les nouveaux commerçants » du Système-U, annoncent qu’ils suppriment le glyphosate dans « les produits de jardin », comme ils ont supprimé, les années précédentes, « plus de 60 substances controversées dans plus de 6000 produits U ».
    Bravo et encore bravo.
    Mais pourquoi annoncer la suppression du glyphosate sur « les produits jardin à base de glyphosate » ? cette formule pour le moins curieuse désigne quoi ? tous les légumes ? seulement ceux qui poussent dans des jardins ? Depuis quand Système-U se fournit-il auprès des particuliers ? qui, par ailleurs, doivent prochainement renoncer aux désherbants à base de glyphosate.
    Et puis que veut dire « à base de glyphosate » ? que les carottes et les pommes de terre sont composées de glyphosate ? Que cette substance est ajoutée dans la plante ?
    Désherber une culture légumière, pardon un « produit jardin », avec du roundup aurait ainsi pour effet d’introduire cette molécule à l’intérieur de la carotte ; c’est admettre qu’un arrosage de roundup suffirait pour faire d’un tubercule de pomme de terre un « produit à base de glyphosate » ?
    Formule intéressante, et hélas exacte. Les tests menés depuis 2013 sur l’urine humaine, et récemment sur les bières d’Europe, montrent que peu de personnes et peu de boissons échappent au glyphosate. Nous sommes donc des êtres vivants –humains- « à base de glyphosate », et chaque bouchée, chaque gorgée renforce notre composition chimique. Mais cependant, la présence de glyphosate est particulièrement élevée chez les enfants américains (du Nord).
    Comme nous l’apprend le long texte explicatif posté sur le site de Système-U.
    Texte, par ailleurs bourré d’omissions, tout aussi informatives…
    A suivre

  • Le giscardoscope à la sauce Wauquiez

    uy de Dôme Nature Environnement s’est longuement battu contre le projet Vulcania considérant qu’il réduisait et dégradait gravement le parc naturel régional des volcans d’Auvergne.
    Nous craignions de plus une augmentation ultérieure de l’emprise urbaine avec la construction d’un centre d’hébergement touristique. Hé bien c’est maintenant ! Le PLU (plan local d’urbanisme) de la commune de Saint Ours les roches est en enquête publique jusqu’au 13 janvier 2017. Il prévoit des surfaces constructives pour l’hôtellerie sur les 2 sites de Vulcania et Lemptégy pour une hauteur maximale de 7 mètres ce qui est inférieur à ce que le POS actuel autorise (15m). Cette disposition satisfait aux préconisations du SCoT du Grand Clermont, lequel est favorable à un développement urbain et touristique peu compatible avec la préservation du patrimoine naturel. Notre nouveau président de région, grand serviteur des bétonneurs et aménageurs touristiques, demande par écrit de revenir aux 15m de hauteur sur une surface beaucoup plus grande ! Cette lettre fait partie du dossier consultable. Cette position de la Région AURA est incompatible avec le SCoT.
    Les gestionnaires des parcs de loisirs Vulcania et Lemptegy ont fait état dans la presse de leur volonté de développer inconsidérément leurs affaires.
    Il est pourtant clair que les difficultés de classement de la chaîne des puys par l’UNESCO sont liées à une trop importante présence d’équipements urbains.

    Nous devons nous opposer à ces destructions de notre environnement et à cette volonté du président Wauquiez de marchandiser à outrance nos magnifiques patrimoines naturels en inscrivant nos protestations dans les cahiers de l’enquête publique :
    Les lundis, mercredis, vendredis de 9 heures à 12 heures et de 14 heures à 18heures,sauf le vendredi 13 janvier 2017 où l’enquête publique se clôturera à 12 heures,
    Les mardis et jeudis de 9 heures à 12 heures,
    Le public pourra prendre connaissance du dossier et consigner ses observations sur le registre ouvert à cet effet ou les adresser à la commissaire enquêtrice par correspondance à la mairie de StOurs les Roches (adresse: rue de la mairie 63230 Saint Ours les Roches)

    par courrier électronique envoyé à enquetepublique@saintourslesroches.fr

    Le dossier d’enquête publique sera également disponible durant l’enquête publique sur le site Internet de la commune à l’adresse suivante www.saintours-les-roches.fr, rubrique «Logement, habitat, urbanisme/ Le Plan Local d’Urbanisme »
    A vos plumes.
    CI-DESSOUS, LA DEPOSITION DE PUY-DE-DÔME NATURE ENVIRONNEMENT

  • Espace naturel sensible des Côtes de Clermont

    Voici texte et images obtenues sur l’espace naturel sensible des Côtes de Clermont, par Jean Berthier, Roger Anglaret, jean Louis Amblard, Jean Pierre Couture
    Il s’agit de six pages scannées d’un carnet d’amoureux de cet espace.

  • FIN DU MONOPOLE D’ EDF

    Sortir du Nucléaire, n°71, automne 2016
    « La fin du monopole d’EDF sur le rachat des énergies renouvelables
    « L’ordonnance n° 2016-1059 fixée le 3 août 2016 relative à la production d’électricité à partir d’énergies renouvelables offre de nouvelles conditions de revente pour les producteurs d’énergies vertes.
    « Cette ordonnance permet aux propriétaires d’installations de choisir l’opérateur à qui ils souhaitent revendre leur production sans perdre pour autant les aides et subventions accordées actuellement.
    « Jusqu’à aujourd’hui les producteurs étaient dépendants d’un monopole d’EDF sur le rachat de leur production.
    « Par un arrêté du 20 septembre 2016, l’opérateur Enercoop (le seul en France à fournir uniquement de l’électricité certifiée d’origine renouvelable) est le premier à être agréé par ce dispositif.
    « L’électricien alternatif reste limité pour le moment à 75 contrats d’achat pour une puissance maximale de 100 MW (soit environ 10% de la puissance d’un réacteur nucléaire).
    « Cependant ces limitation pourraient être revue à la hausse, notamment en fonction du nombre d’abonnés à la coopérative actuellement en pleine croissance (de 40 000 abonnés en 2016 Enercoop espère atteindre les 150 000 clients d’ici 2020).
    « Dans les faits, le démarrage en 2017 de ces dispositions devrait être expérimental, pour les producteurs déjà existants, le passage sous la bannière d’Enercoop reste contraignant dans la mesure où le transfert devra être décidé au 1er janvier de chaque année et que les modalités de cette procédure ne sont pas encore toutes prévues »…
    Commentaire : « On » fait traîner les choses et « on » accumule les obstacles. En attendant, Sortir du Nucléaire rappelle que les économies d’électricité sont à la portée de chacun. Et que Enercoop, justement, fournit des conseils.
    www enercoop .fr

  • Bonbons et douceurs avec NANOS

    AVICENN, Association de veille et d’information civique sur les enjeux des nanosciences et des nanotechnologies, est venue à Clermont-Ferrand, invitée par Anis Etoilée, le 10 nov 2016
    Explications:
    Apparues pour la première fois dans le vocabulaire en 1974, les nanotechnologies sont des techniques permettant de manipuler la matière à l’échelle nanométrique, l’échelle des atomes et de l’ADN, soit au milliardième de mètre. Pour saisir cet infiniment petit, il suffit d’imaginer qu’une différence du même ordre existe entre la taille d’une orange et une nanoparticule et celle d’une orange et de … la Terre !
    La taille des nanoparticules leur confère des propriétés nouvelles ou amplifie les propriétés existantes : résistance aux bactéries, transparence, fluidité, coloration, résistance mécanique… Le principe est simple : plus une particule est petite, plus elle est réactive. Avec un rapport surface/volume plus important, leur capacité d’interaction avec d’autres supports est plus grande.
    Le cas le mieux identifié dans le domaine alimentaire le Dioxyde de titane
    A titre d’exemple, un gramme de dioxyde de titane à l’état nano offre une surface d’interaction de 60 m² contre quelques cm² quand il est à l’état micro.
    DES APPLICATIONS TRES LARGES
    Le dioxyde de titane a des applications dans divers domaines : en alimentaire, en cosmétique (dans les filtres UV des crèmes solaires), les produits d’hygiène (notamment les dentifrices), les produits pharmaceutiques (comprimés pelliculés), dans le secteur de la construction (peinture blanche, ciment, les revêtements de route…).
    En alimentation, il est considéré comme un additif alimentaire (selon le code E171), visant à rendre des aliments plus blancs ou plus brillants ou pour décliner une palette de couleurs en étant associées à d’autres colorants alimentaires.
    DE TRES NOMBREUX PRODUITS A RISQUE
    Le dioxyde de titane rentre entre dans la composition de nombreux produits alimentaires notamment sucrés et destinés aux enfants : bonbons, chewing-gums, gâteaux, chocolats, décorations pour pâtisserie.
    Nos enquêtes de terrain menées dans 15 enseignes de supermarchés nous ont permis d’identifier plus de 100 produits destinés aux enfants contenant du dioxye de titane, souvent indiqué sous le code E171 : bonbons Têtes brulées, Elodie, Fizzy, chewing-gum Airwaves, Hollywood, Freedent, Malabar, confiserie M&M’s, Skittles, gâteaux LU, chocolats Milka, décorations gâteaux Vahiné…

    Le site Pieces et main d’oeuvre dénonce les nanos depuis plusieurs années…