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L'EAU, BIEN COMMUN ? eh ben NON!

18/12/2019 |

Moins il a d'eau dans les rivières, les barrages et les réserves souterraines, et plus elle est interdite aux usagers. Chez nous, elle est pour Limagrain et Volvic. Particuliers, maraîchers, piscicultures, passez votre chemin.
Nestlé s'approprie l'eau de Vittel, et le Préfet (un autre) prie les habitants de restreindre leur consommation ! INACCEPTE !
Même abus de la force publique dans le Puy-de-Dôme, au profit des industriels.
Le point sur ce scandale par un groupe d'associations, dont PdDNE

LETTRE A MADAME LA PREFETE DU PUY-DE-DOME

Le 20 novembre 2019,
Madame la Préfète,
Nous sommes un collectif d’associations citoyennes, syndicales ainsi que de citoyens et citoyennes du Puy-de-Dôme, qui nous intéressons et interrogeons sur la gestion et l’utilisation de l’eau sur le département. Nous vous livrons nos commentaires et nos demandes.
Nous y constatons en effet depuis plusieurs mois la raréfaction extrême de la ressource en eau :
- Assèchement des eaux de surface (ruisseaux, rivières, mares, étangs, puits,…) localement total (en particulier dans la plaine aux alentours de Mozac et dans les Combrailles, mais aussi barrage de la SEP),
- Diminution de plus de 70% du niveau de la plupart des nappes phréatiques souterraines.

Avec comme conséquences :
- La diminution voire la privation en eau, quelquefois potable, pour les populations en particulier pour leurs usages domestiques ;
- La disparition de zones humides et l’effondrement de leur biodiversité ;
- La limitation jusqu’à l’interdiction totale provisoire de prélèvement en eau prévue par arrêtés préfectoraux successifs depuis le 25 juillet 2019 (suspension en cours jusqu’au 30 novembre 2019, sauf reconduction), touchant prioritairement et presque exclusivement les populations du Puy-de-Dôme, ainsi que l’agriculture paysanne locale (maraîchers, horticulteurs, pisciculteurs…), portant ainsi atteinte indirectement à l’alimentation, donc à la santé des populations.

Les causes de cette raréfaction ne sont pas seulement liées au changement climatique, conduisant à des périodes plus longues et plus intenses de sécheresse avec déficit pluviométrique de moitié depuis les deux dernières années 2018 et 2019. La raréfaction de l’eau sur certaines zones du département est aussi la conséquence directe de l’utilisation massive sans aucune restriction ni contrôle indépendant de la ressource en eau à des fins de vente à l’exportation. Deux exemples :
- Usine Danone - Volvic : pompage de l’eau de la nappe pour exportation en grande partie à l’internationale de plus d’un milliard de bouteilles d’eau en plastique par an (chiffres Danone - Volvic), avec un énorme gaspillage de l’eau (trois litres d’eau sont nécessaires pour réaliser une bouteille plastique d’eau d’un litre). L’entreprise s’est vue octroyée un droit de pompage de 90 litres par seconde, attribué par la préfecture du Puy-de-Dôme depuis plusieurs années, sans révision récente liée à la raréfaction de la ressource en eau. L’analyse de ces prélèvements s’effectue uniquement par un autocontrôle présenté deux fois par an à l'autorité de tutelle, la préfecture du Puy-de-Dôme. Or nous ne pouvons que constater que cette année, pour la première fois depuis des centaines d’années, les aquifères (reliés à la nappe dans laquelle pompe Volvic) construits par les moines au XIIIème siècle pour alimenter en eau potable les populations de Mozac et ses environs ne coulent plus ! Conduisant notamment à la fermeture de la pisciculture de Saint-Genest l’Enfant et ayant actuellement entamé une procédure juridique. Plusieurs associations locales manifestent également leurs inquiétudes au sujet de la gestion de l’eau de l’aquifère de Volvic. Elles militent notamment pour que les différents usages de cette précieuse ressource s’effectuent dans une logique durable et équitable.
- L’irrigation par aspersion des cultures agroindustrielles des plaines de la Limagne, en grande partie pour de la production à vocation exportatrice, à partir des eaux du barrage de la SEP, autorisée sur dérogation par les deux arrêtés préfectoraux successifs de restriction d’eau, dans la limite d’une réduction du débit prélevé de 25% jusqu’au 30 septembre, puis de 50% jusqu’au 30 novembre 2019. Il n’y a pas de contrôle possible des quantités d’eau réellement prélevées, puisqu’un certain nombre des installations de pompage ne comportent pas de compteurs volumétriques d’eau. Encore ici, nous constatons que depuis début octobre 2019, pour la première fois depuis sa mise en eau il y a 25 ans, le barrage de la SEP a été complètement vidé de ses 4,7 millions de mètres cubes d’eau qu’il détient lorsqu’il est plein. Conduisant à la baisse du niveau d’eau de la rivière Morge en dessous de son niveau d’étiage, avec des conséquences irréversibles sur la préservation des milieux aquatiques associés.

Devant cette inégalité d’accès et d’utilisation de l’eau entre différents usagers, les organisations signataires de cette lettre vous sauraient gré de bien vouloir leur apporter les éclairages nécessaires aux interrogations suivantes :
 Existe-t-il des données quantitatives et qualitatives indépendantes sur l’état de la ressource en eau sur le Puy-de-Dôme, y compris sur le gisement qu’exploite Danone – Volvic ?

 Ces données sont-elles réactualisées de manière permanente ?

 Par ailleurs, les autorisations de prélèvement des eaux à des fins industrielles, agroindustrielles et de loisirs sont-elles, elles aussi, réactualisées de manière permanente ?

 Des contrôles indépendants et réguliers sur l’utilisation réelle de l’eau à des fins industrielles, agroindustrielles et de loisirs sont-ils mis en place ?

 La représentation et la consultation permanente de la société civile est-elle prévue aux différentes commissions de contrôle, de préservation et d’utilisation de l’eau du département ? De quelle manière ?

 Pourquoi, conformément à l’article L211-1 de la Loi sur l’Eau et les Milieux Aquatiques n° 2006-1772 du 30 décembre 2006, les arrêtés préfectoraux de restriction d’eau successifs depuis le 25 juillet 2019, ne privilégient-ils pas l’accès à l’eau pour les populations du Puy-de-Dôme, ainsi que les producteurs locaux en circuits courts, qui oeuvrent à l’alimentation de ces populations ?

En vous remerciant par avance pour votre réponse et demeurant à votre disposition pour vous apporter tout complément d’information, veuillez recevoir, Madame La Préfète, l’expression de nos meilleures salutations.
Organisations signataires par ordre alphabétique :
Action Non Violente Cop 21 - Alternatiba 63 - Attac 63 - Association des Compagnons de l'Initiative Locale d'Entraide - Confédération Paysanne du Puy-de-Dôme – Extinction Rébellion - Gilets Jaunes 63 – Ligue des Droits de l’Homme section Combrailles – Puy de Dôme Nature Environnement
Contact : eaubiencommun63@gmail.com

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Pollinis et le secret des affaires; le triomphe des algorithmes

03/05/2018 | Gustou

La loi sur le secret des affaires, votée au Sénat le 18 avril 2018, accorde une grande faveur aux entreprises et, malgré les promesses des ministres, affaiblit singulièrement l'action des lanceurs d'alerte.
Elle a aussi grandement bénéficié à Pollinis, association "en panne de projets" comme le dit Que Choisir, car elle a lancé plusieurs pétitions aux titres similaires et aux contenus variables pour attirer le maximum d'adresses mail, selon son mode d'existence favori.
Décryptage ci-dessous
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Appel de Poitiers, 24 juin 2012

10/04/2015 | Philomène

Les abeilles, sentinelles de l'environnement, sont rudement traitées par l'agriculture dominante. Des escrocs en profitent profitent pour récolter des adresses mails via des pétitions (RV: AU QUOTIDIEN: "vérifiez vos pétitions")
Comme s'il n'y avait pas d'autres actions, insuffisamment médiatisées.
Pddne estime utile de relayer l'appel de Poitiers!

Nous, citoyen(ne)s, paysan(ne)s, représentant(e)s d’organisations de la société civile, réunis en ce jour à Poitiers pour les États Généraux « Abeilles, semences et biodiversité » lançons un appel solennel à la société tout entière à s’engager de toute URGENCE POUR SAUVER LA BIODIVERSITÉ !


Le modèle agricole dominant correspond à une très brève période (± 1 siècle) de la longue histoire de l’agriculture (± 10.000 ans). Il repose sur une vision dans laquelle la terre n’est considérée que comme un support inerte maintenu sous perfusion par les engrais et les pesticides chimiques, et les écosystèmes comme des ressources à exploiter et non des organismes vivants dont nous faisons partie.
Ce modèle franchit aujourd’hui un point de non-retour dans la pollution massive, la destruction de la biodiversité et les atteintes à la santé publique, sur fond d’épuisement des énergies fossiles qui l’ont alimenté.

Cette situation nous contraint à prendre sans délai des mesures d’urgence !

Nous demandons :
1) Pour sauver l’abeille, les autres pollinisateurs et la biodiversité :
l’interdiction des OGM (dans les champs, dans l’alimentation humaine et animale), à commencer par le renforcement du moratoire sur le MON 810 ;
l’interdiction de tous les insecticides néonicotinoïdes et phényles pyrazoles (Cruiser, Gaucho, Régent,…) ;
le refus de toute ligne directrice européenne qui amoindrirait encore l’évaluation des OGM ;
l’interdiction des plantes pesticides, en particulier les nouveaux colzas et tournesols mutés pour tolérer les herbicides inhibiteurs de l’ALS ;
la refonte totale des procédures d’évaluation des pesticides (AMM,…), s’appuyant sur le rapport de l’Autorité européenne de sécurité des aliments (AESA) préconisant la révision des protocoles d’évaluation des pesticides sur les abeilles ; notamment en rendant publiques les études de toxicité des firmes qui ne peuvent en aucun cas être couvertes par le secret industriel ;
une pénalisation forte de toute pollution et de toute atteinte à la biodiversité, une obligation de réparation et l’exclusion de toute forme de compensation qui donne un droit à polluer ou à détruire la biodiversité.


2) Pour la reconnaissance des droits des paysans :
l’interdiction de tout brevet et de toute forme de droit de propriété industrielle sur le vivant (Certification d’Obtention Végétale de 1991) qui sont les outils de la spéculation financière sur la biodiversité et la nature ;
l’abrogation de la loi sur les COV de décembre 2011 ;
l’adoption d’une loi de reconnaissance positive des droits des paysannes et des paysans, des jardiniers et des artisans semenciers, d’utiliser, resemer, échanger, diffuser leurs semences, et les protéger des contaminations génétiques et de la biopiraterie ;
l’accès à la terre et à l’eau, maîtrisé et équitablement réparti, tout en respectant les besoins des milieux aquatiques.


3) Pour un changement des pratiques agricoles :
dans le cadre de la PAC, des mesures fortes d’incitation aux pratiques alternatives à l’utilisation des pesticides, alternatives pour protéger les sols, l’eau, la santé humaine en restaurant la biodiversité ;
la reconnaissance des alternatives aux pesticides à commencer par l’autorisation immédiate des Préparations naturelles peu préoccupantes (PNPP).


La biodiversité : un réservoir de solutions !
La semence est le premier maillon de la chaîne agricole et alimentaire. Les agricultures paysannes et biologiques, que la société appelle de ses vœux, ne peuvent se satisfaire de semences industrielles ; elles ont besoin de semences paysannes. Celles-ci donnent un sens au travail des paysans avec le vivant. Elles sont la vie, en opposition aux technologies de manipulation du vivant. La diversité intravariétale et variétale permet l’adaptation à la diversité des terroirs, à la variabilité et aux évolutions climatiques à venir.
Les semences paysannes permettent :
la liberté de choix des paysans et des consommateurs ;
l’indépendance vis-à-vis de l’agrochimie (engrais, pesticides, semences hybrides F1, OGM) ;
une meilleure qualité nutritionnelle (antioxydants, oligoéléments,…) et gustative ;
une réponse par rapport aux problèmes de l’eau, moins de pollution, moins de consommation, moins d’érosion des sols ;
une agriculture nourricière assurant la souveraineté alimentaire au Nord comme au Sud.


Nous nous engageons à :
reprendre notre rôle et nos droits dans l’orientation des choix politiques, car le débat politique préoccupé exclusivement de la nature ne se soucie pas des questions sociales et économiques, tout comme le débat politique préoccupé exclusivement de l’économique et du social ne se soucie pas de la nature et la considère comme une ressource ou un bien librement exploitable ;
sortir de la société techniciste et productiviste qui permet l’appropriation privée de la nature en standardisant les produits qui en sont issus ;
nous réapproprier les droits d’usage collectifs inaliénables à la terre, à l’eau, aux semences, aux savoirs ;
respecter et gérer collectivement la biodiversité sauvage et agricole en priorité à l’échelle locale. La biodiversité sauvage ne doit pas être marchandisée, la biodiversité agricole ne doit pas être standardisée. C’est un préalable pour construire la souveraineté alimentaire.
remettre les savoirs et les savoir-faire populaires et professionnels au même niveau de légitimité que les savoirs scientifiques ;
respecter l’expression citoyenne et le débat contradictoire ;
refuser les accords publics-privés, qui pervertissent la recherche publique, pour la remettre à sa place au sein de la société ;
nous réapproprier une éthique sociale et de la nature ; nous approprier un nouveau paradigme global qui replace l’être humain au cœur de la nature et non plus au-dessus, notamment dans le cadre d’une recherche citoyenne basée sur l’intérêt commun.


Un autre monde n’est pas seulement possible, il est indispensable !
Nous, citoyen(ne)s, paysan(ne)s, représentant(e)s d’organisations de la société civile, réunis en ce jour à Poitiers pour les États Généraux « Abeilles, semences et biodiversité », nous le construisons ensemble immédiatement !

Manifestation du 29 mars 2008 à Clermont Ferrand

29/03/2008 |

Alors que se tenait l'assemblée générale de PdDNE, d'autres manifestaient Place de Jaude leur opposition à une tolérance de PGM dans les produits "bio"

 

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