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  • 2007: Pesticides, scandale français

    Commentaire du livre de François Veillerette et Fabrice Nicolino, « Pesticides, révélations sur un scandale français ». Publié en 2007, ce livre est (hélas) toujours d’actualité.

  • Zone vulnérable

    Une zone vulnérable aux nitrates vient d’être créée le long de l’Allier, par arrêté préfectoral, le 24 juillet 2009 et s’applique jusqu’au 30 juin 2013 à toutes les exploitations agricoles situées dans la zone vulnérable.
    Cette zone s’étend sur 41 communes

  • Création d’une zone vulnérable aux nitrates

    La consultation publique sur le projet de zone vulnérable aux nitrates le long de l’Allier se terminait fin juin 2009. L’avis de PdDNE a été envoyé avec quelques jours de retard, le 6 juillet.
    Cela était annoncé depuis longtemps ; cette zone qui fournit la plus grande partie de l’eau potable aux habitants du département reçoit tous les surplus de la fertilisation (nitrates) de la Limagne, sans parler des nombreux pesticides qui, on ne sait pourquoi, sont exclus de la vulnérabilité des sols et de l’eau.

  • Phyt’eauvergne, bilan des actions

    En 2008, le groupe régional de surveillance des pesticides, Phyt’eauvergne, a dressé la liste de ses interventions auprès du public, afin de diminuer l’usage des pesticides. Voici une lecture critique de ces interventions.

  • Captages AEP, esquisse novembre 2009

    texte pour le Groupe Eau de l’Université populaire et citoyenne, le 24 février 2010. Les captages d’eau potable le long de l’Allier alimentent le Grand Clermont et les syndicats distributeurs voisins

  • Un Clermontois récompensé

    Le comité Européen de l’Irradiation (European Committee on Radiation Risk – ECRR) réuni les 5 et 6 mai 2009 dans l’île de Molyvos – Grèce, a attribué pour la première fois son prix Radford et l’a décerné au Prof. Yuri Bandazhevsky qui est citoyen d’honneur de la ville de Clermont-Fd.
    L’ECRR a été créé à l’initiative de Parlementaires européens soucieux d’obtenir des informations fiables sur les irradiations. Il est composé de scientifiques de diverses nationalités sous la présidence du Prof. Chris Busby, épidémiologiste. Il travaille sur les effets de la radioactivité.
    Son prix fait mémoire du Dr Radford. Il a été attribué au Prof. Bandazhevsky pour l’ensemble de ses travaux scientifiques et pour son courage.
    Le Prof. Bandazhevsky, ex-recteur de l’Institut de médecine de Gomel (Bélarus) a en effet subi 5 années d’emprisonnement pour ses travaux sur les conséquences de la catastrophe de Tchernobyl. Malgré la censure et les pressions dont il est l’objet, il continue à œuvrer pour que la vérité sur Tchernobyl soit publiée et que les victimes soient convenablement aidées.
    Site à consulter : http://www.euradcom.org
    Communiqué par Marcel BREUGNOT

  • Déchets ménagers

    Le compte rendu officiel de la commission consultative de révision du plan d’élimination des déchets du 08/07/09 (disponible sur le site Internet du Conseil Général) n’est pas très fidèle et ne reflète pas l’ambiance de cette réunion.
    D’une part, il faut constater l’absence remarquée de Clermont Communauté, sans doute due aux résultats prévisibles du contentieux au T.A. qui lui donnent tort (site du VALTOM, du C.G. Et du T.A.). Mais cette politique de la chaise vide défend elle les intérêts de sa population?

  • Ce qu’il faut savoir sur les semences

    Ce dossier est réalisé par la Confédération paysanne pour faire comprendre les enjeux de la certification des semences. Il est évident qu’il s’agit d’interdire la transmission des semences entre agriculteurs !

    Le document download date de 2009, mais le problème est toujours d’actualité en décembre 2012

  • La revue « Le Dniepr »

    Pour avoir des nouvelles de l’association « les enfants de Tchernobyl », de l’accueil des enfants venus d’Ukraine, des effets et des suites de la catastrophe de Tchernobyl, consultez « Le Dniepr »
    qui compte maintenant plus de 47 numéros !

    Pour la consulter, aller sur https://lesenfantsdetchernobyl.fr/ puis cliquer sur l’icône « le Dniepr » situé dans un bandeau rouge. Pour accéder à un numéro, cliquer sur sa couverture.

  • Pesticides pour tous !

    On pensait naïvement que l’enquête à quatre mains publiée en 2007 par Fabrice Nicolino et François Veillerette : « Pesticides. Révélations sur un scandale français » avait atteint son but : faire comprendre qu’il fallait cesser de nuire à notre environnement et, directement ou par ricochet, à nous-mêmes et nos enfants venus ou à venir.
    On avait compris que le travail effectué pour décortiquer le ou, plutôt, les scandales servait de guide pour rebrousser chemin, modifier les pratiques et, surtout, rendait possible une « séparation des pouvoirs » entre ceux qui fabriquent et répandent les « phytosanitaires » et ceux qui les « contrôlent », afin de mieux nous protéger, nous tous qui en « bénéficions » sans même le savoir.
    L’argument principal des fabricants de pesticides reprend celui qui a permis la prolongation de l’amiante : un usage « raisonné » est possible en agriculture. L’agriculture « raisonnée » créée en 1993 par le lobby des pesticides, même étendue à tous les exploitants, ce qui est loin d’être le cas, ne diminuera qu’à la marge les déversements des poisons. Alors que la volonté affichée est de les réduire de moitié.

    L’amiante, pourtant porteuse d’un cancer spécifique, a utilisé cet argument fallacieux jusqu’en 1997. Les pesticides n’ont pas cette caractéristique : preuve avancée pour les disculper tous, pour nier en bloc l’augmentation spectaculaire des cancers, des malformations chez les enfants, toutes les atteintes à notre environnement. C’est ainsi que le lobby transforme le Gaucho, le Régent et autres Cruiser en martyrs de la persécution écologique : les abeilles sont exposées à tant d’adversaires qu’on ne saurait tenir pour responsable un unique produit phytosanitaire.
    Quand il n’y aura plus d’abeilles, que mangera-t-on ? Défendre le Gaucho et ses collègues de cette façon, c’est reconnaître que notre planète est inondée de produits les plus variés, tous plus ou moins cancérigènes, mutagènes et reprotoxiques.

    Prétendre que les produits phytosanitaires -destinés à « soigner » les plantes – sont soumis à une procédure d’autorisation semblable à celle des médicaments pour humains est le dernier argument trompeur déversé dans nos oreilles. Cette proposition, sous la pression du lobby, a été écartée du règlement européen REACH qui vise à mieux contrôler l’usage, et la connaissance, des pesticides.