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  • Un Clermontois récompensé

    Le comité Européen de l’Irradiation (European Committee on Radiation Risk – ECRR) réuni les 5 et 6 mai 2009 dans l’île de Molyvos – Grèce, a attribué pour la première fois son prix Radford et l’a décerné au Prof. Yuri Bandazhevsky qui est citoyen d’honneur de la ville de Clermont-Fd.
    L’ECRR a été créé à l’initiative de Parlementaires européens soucieux d’obtenir des informations fiables sur les irradiations. Il est composé de scientifiques de diverses nationalités sous la présidence du Prof. Chris Busby, épidémiologiste. Il travaille sur les effets de la radioactivité.
    Son prix fait mémoire du Dr Radford. Il a été attribué au Prof. Bandazhevsky pour l’ensemble de ses travaux scientifiques et pour son courage.
    Le Prof. Bandazhevsky, ex-recteur de l’Institut de médecine de Gomel (Bélarus) a en effet subi 5 années d’emprisonnement pour ses travaux sur les conséquences de la catastrophe de Tchernobyl. Malgré la censure et les pressions dont il est l’objet, il continue à œuvrer pour que la vérité sur Tchernobyl soit publiée et que les victimes soient convenablement aidées.
    Site à consulter : http://www.euradcom.org
    Communiqué par Marcel BREUGNOT

  • Déchets ménagers

    Le compte rendu officiel de la commission consultative de révision du plan d’élimination des déchets du 08/07/09 (disponible sur le site Internet du Conseil Général) n’est pas très fidèle et ne reflète pas l’ambiance de cette réunion.
    D’une part, il faut constater l’absence remarquée de Clermont Communauté, sans doute due aux résultats prévisibles du contentieux au T.A. qui lui donnent tort (site du VALTOM, du C.G. Et du T.A.). Mais cette politique de la chaise vide défend elle les intérêts de sa population?

  • Ce qu’il faut savoir sur les semences

    Ce dossier est réalisé par la Confédération paysanne pour faire comprendre les enjeux de la certification des semences. Il est évident qu’il s’agit d’interdire la transmission des semences entre agriculteurs !

    Le document download date de 2009, mais le problème est toujours d’actualité en décembre 2012

  • La revue « Le Dniepr »

    Pour avoir des nouvelles de l’association « les enfants de Tchernobyl », de l’accueil des enfants venus d’Ukraine, des effets et des suites de la catastrophe de Tchernobyl, consultez « Le Dniepr »
    qui compte maintenant plus de 47 numéros !

    Pour la consulter, aller sur https://lesenfantsdetchernobyl.fr/ puis cliquer sur l’icône « le Dniepr » situé dans un bandeau rouge. Pour accéder à un numéro, cliquer sur sa couverture.

  • Pesticides pour tous !

    On pensait naïvement que l’enquête à quatre mains publiée en 2007 par Fabrice Nicolino et François Veillerette : « Pesticides. Révélations sur un scandale français » avait atteint son but : faire comprendre qu’il fallait cesser de nuire à notre environnement et, directement ou par ricochet, à nous-mêmes et nos enfants venus ou à venir.
    On avait compris que le travail effectué pour décortiquer le ou, plutôt, les scandales servait de guide pour rebrousser chemin, modifier les pratiques et, surtout, rendait possible une « séparation des pouvoirs » entre ceux qui fabriquent et répandent les « phytosanitaires » et ceux qui les « contrôlent », afin de mieux nous protéger, nous tous qui en « bénéficions » sans même le savoir.
    L’argument principal des fabricants de pesticides reprend celui qui a permis la prolongation de l’amiante : un usage « raisonné » est possible en agriculture. L’agriculture « raisonnée » créée en 1993 par le lobby des pesticides, même étendue à tous les exploitants, ce qui est loin d’être le cas, ne diminuera qu’à la marge les déversements des poisons. Alors que la volonté affichée est de les réduire de moitié.

    L’amiante, pourtant porteuse d’un cancer spécifique, a utilisé cet argument fallacieux jusqu’en 1997. Les pesticides n’ont pas cette caractéristique : preuve avancée pour les disculper tous, pour nier en bloc l’augmentation spectaculaire des cancers, des malformations chez les enfants, toutes les atteintes à notre environnement. C’est ainsi que le lobby transforme le Gaucho, le Régent et autres Cruiser en martyrs de la persécution écologique : les abeilles sont exposées à tant d’adversaires qu’on ne saurait tenir pour responsable un unique produit phytosanitaire.
    Quand il n’y aura plus d’abeilles, que mangera-t-on ? Défendre le Gaucho et ses collègues de cette façon, c’est reconnaître que notre planète est inondée de produits les plus variés, tous plus ou moins cancérigènes, mutagènes et reprotoxiques.

    Prétendre que les produits phytosanitaires -destinés à « soigner » les plantes – sont soumis à une procédure d’autorisation semblable à celle des médicaments pour humains est le dernier argument trompeur déversé dans nos oreilles. Cette proposition, sous la pression du lobby, a été écartée du règlement européen REACH qui vise à mieux contrôler l’usage, et la connaissance, des pesticides.

  • Pddne s’oppose à l’incinération

    Chercher dans la rubrique « Notre publication Sèves » l’historique de la lutte contre le projet d’incinérateur et les arguments employés par pddne.

  • Pesticides agricoles en ville

    Plusieurs villes de France ont commencé à mesurer les pesticides présents dans l’air. Pour Clermont-Ferrand les résultats des premières mesures ont été diffusés l’été 2006.

    En 2008, dernières nouvelles : l’argent pour les mesures de pesticides dans l’air se fait rare ; la « fenêtre », les semaines de mesure seront encore moins nombreuses.

    En 2007 : deuxième mesure de pesticides par Atmo63 sur la région de Clermont-Ferrand. Faute de crédits, la durée rétrécit par rapport à la première campagne : 11 semaines, de mi-avril à fin juin, et donc la quantité de molécules détectées… Sur 50 recherchées, on trouve 8 herbicides dont 1 interdit, 2 insecticides dont le lindane interdit depuis 98, et 5 fongicides.

    http://www.atmoauvergne.asso.fr/

  • Sortir du nucléaire

    La France détient le record mondial du nucléaire avec ses 58 réacteurs en fonctionnement, contribuant pour plus de 78 % à sa production électrique qui ne représente que 16% du besoin énergétique, la France détient le triste record du pays le plus nucléarisé au monde par rapport au nombre d’habitants. Son territoire est parsemé de sites nucléaires. La vallée du Rhône compte à elle seule seize réacteurs.
    Sur le plan international, le meilleur représentant commercial de l’industrie nucléaire civile est notre président de la république. Et ce malgré les accidents qui se répètent y compris sur notre territoire et les risques croissants dus au vieillissement de nos installations nucléaires.
    Sortir du nucléaire nous invite à réagir, à nous engager …
    www.sortirdunucleaire.org/

    Le succès de la lutte pour sortir du nucléaire
    dépend aussi de VOUS.

    Suivez l’actualité.
    Consultez régulièrement le site du réseau national
    Sortir du nucléaire

    et à l’heure où on annonce un 2ème EPR
    http://www.stop-epr.org/

    En tant que particulier, vous avez le droit depuis le 1er juillet 2007 de choisir votre fournisseur d’électricité.

    Nous soutenons Enercoop, une coopérative dont le projet est de promouvoir les énergies renouvelables et la maîtrise de l’énergie,
    en accord avec nos valeurs …
    http://www.enercoop.fr/

    Un travail inlassable d’associations (PDDNE en particulier) met en évidence le laxisme vis à vis du nucléaire et le poids du lobby:
    Ceci se passe en Puy de Dôme
    Lire : Une si jolie cour d’école (rtf)

  • Boire, mais quoi?

    L’eau du robinet ? chargée en nitrates et parfumée à la javel ? l’eau en bouteille ? chère et, malgré les promesses du PET, matériau généralisé en toute hâte et sans tambour au début des années 1990, pleine de résidus de plastique. A la télé, on voit sur les tables des prestigieuses réunions publiques, des carafes et des verres, voire seulement des verres remplis. L’association de consommateurs, Que choisir ?, est très active.

    Les sociétés concessionnaires se partagent 80% du marché de l’eau ; la Lyonnaise des Eaux (Suez) couvre le plus grand territoire d’un seul tenant, dans notre région. Clermont-Ferrand reste en régie municipale et Cournon a été reprise en 2007. biblio : La Galipote n°116. {voir plus loin}
    Importance des sociétés d’embouteillage d’eaux. Volvic, la plus connue, appartient à Danone. Avant d’être mises en bouteilles (de plastique) et commercialisées, toutes les eaux sont traitées, mais cela n’est pas dit. Toutes les bouteilles de plastique, et même celles en PET, relâchent des molécules dans l’eau. Pour la bonne raison que la bouteille est remplie sitôt moulée à chaud ! Et qu’ensuite elle est stockée et transportée en plein soleil… Si vous voulez en boire, préférez celles qui ont un taux élevé d’ohm (résistivité) et un taux faible de résidus à sec. Ce sont les plus « pures ». Les sels minéraux vantés dans les publicités ne font que transiter dans notre organisme qui ne les assimile pas, en général. Notre principale source de sels minéraux se trouve dans les fruits et légumes.
    Enfin, malgré une très ancienne obligation, les captages d’eau de robinet sont peu protégés ; la plupart n’ont qu’un très petit périmètre de protection.
    La solution individuelle (et égoïste) est d’utiliser une carafe filtrante. Souvent, le filtre, lorsqu’il est fixé sur un robinet, devient un nid à bactéries et il faudrait qu’il soit jeté dans une décharge spécialisée dans les produits toxiques, ce qui n’est pas le cas.
    Solution : pas de solution, à moins de préserver correctement la ressource en eau.

  • Surveiller, et après ?

    lien : www.phyteauvergne.org
    Ce site n’est plus accessible, car son financement par l’Etat n’est pas reconduit. Les financements locaux restent assurés jusqu’à 2010, mais insuffisants pour continuer la surveillance à l’identique. Donc, période de réflexion… C’est le Service de la protection des végétaux de la Draf (Direction régionale agriculture et forêt) qui valide la surveillance des résidus phytosanitaires dans l’eau. Une seule personne en était chargée, partie l’été 2007 et pas encore remplacée au printemps 2008. mail : srpv.draf-auvergne@agriculture.gouv.fr

    En 1996, fut décidée la création d’un organisme, dans chaque région, pour surveiller la présence de pesticides dans l’eau vive (les rivières) et souterraines (les nappes phréatiques). L’Auvergne mit sur pied, dès 1997, le groupe Phyt’eauvergne qui, depuis, publie un rapport copieux à intervalles presque réguliers. Puy-de-Dôme Nature Environnement a suivi l’augmentation régulière du nombre et de la concentration des pesticides dans la région.