Actualités

  • Une sixième association a rejoint le collectif pour faire un recours au Tribunal Administratif

    Les arrêtés Cadre Sècheresse de la préfecture de 2021 et 2023 ont été attaqués au Tribunal Administratifs par les cinq associations membres du collectif Eau Bien Commun dont fait partie Puy de Dôme Nature Environnement car ils  exemptaient les entreprises d’embouteillage comme Volvic/Danone des restrictions d’usage imposées au citoyens en cas de sècheresse.
    Le nouvel arrêté de 2024 a fondamentalement le même défaut . Une sixième association (voir le communiqué ci joint) a rejoint le collectif pour faire un recours au Tribunal Administratif tout en abandonnant les 2 recours précédents.

    C’est une lutte de longue haleine contre un état qui privilégie l’activité économique au détriment des consommateurs et de la biodiversité.

    Amicalement.

    Roger

  • Débat sur le nucléaire : « On a quatre minutes pour s’exprimer alors que c’est nous qui vivons dedans »

    La première soirée de débat public sur les futurs réacteurs EPR2 de Gravelines, dans le Nord, a souligné le déséquilibre entre la parole des représentants d’EDF, rompus aux éléments de langage, et celle des associations écologiques qui manquent de moyens.

    Jade Lindgaard (Médiapart)

    18 septembre 2024 à 15h34

  • Vente directe à la ferme !




    objet : Lancement des ventes directes

    Vente directe à la ferme !Venez retrouver les légumes de Sarlièvetous les vendredisde 16h à 18h30sur le rond-point du Zénith à Cournon La première vente aura lieu ce vendredi 20 septembre, nous vous attendons nombreux et nombreuses pour soutenir ce lancement !Ferme de SarlièvePlaine de Sarliève, 63800, CournonCet email a été envoyé à roger.anglaret@orange.fr.Vous avez reçu cet email parce que vous vous êtes inscrit à notre newsletter.Se désinscrire
  • Grand débat public sur la mine d’Echassières

    Grand débat public sur la mine d’Echassières

    Article de La Montagne du 18 février 2024

  • Pour un moratoire d’apaisement sur l’A69

    Le 26 octobre 2014, Rémi Fraisse, botaniste de 21 ans, perdait la vie sur la ZAD de Sivens, dans le Tarn, tué par la grenade d’un gendarme. Un an plus tard, l’État abandonnait le projet initial de barrage.

    Aujourd’hui, la nature reprend ses droits sur le site. Le militaire auteur du tir a bénéficié d’un non-lieu. La justice a reconnu la responsabilité sans faute de l’État et l’a condamné à indemniser la famille du jeune homme.

    Presque dix ans plus tard, on peut se demander quelles leçons ont été tirées par les services de l’État dans leur mission de protection de l’intérêt général et de l’ordre public quand on voit ce qu’il se passe autour du chantier de l’A69, cette autoroute contestée entre Castres et Toulouse.

    Intervention la nuit de gendarmes pour sécuriser l’abattage d’arbres, à coups de tirs de grenades lacrymogènes ; chute de 8 mètres d’un militant depuis un fortin construit entre les branches lors de l’évacuation d’une ZAD anti-A69. Mais aussi irruption de personnes cagoulées au domicile d’une famille vivant dans une maison menacée par le chantier, suivie de l’incendie de leur portail et le début de mise à feu de leur voiture.

    Plusieurs actes de sabotage ont par ailleurs été revendiqués contre le chantier (engins brûlés, incendie du coffrage de la pile d’un pont), une voiture de police municipale a été visée et un vigile pris à partie par des personnes identifiées comme zadistes.

    Plus les travaux de l’autoroute avancent, plus les tensions s’aggravent sur place. Des personnes physiques semblent désormais directement menacées. Comment arrêter cette spirale de violences ?

    En janvier 2018, le premier ministre d’alors, Édouard Philippe, avait annoncé l’abandon du projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, en Loire-Atlantique, en raison du « contexte d’opposition exacerbée entre deux parties presque égales de la population ». Cette décision «exceptionnelle pour une situation locale exceptionnelle » était alors « une décision de raison et d’apaisement dans un contexte local tendu ».  

    Le président de la République s’appelait Emmanuel Macron. Six ans plus tard, la question se pose désormais de savoir s’il sera capable d’une nouvelle décision d’apaisement : un moratoire afin de remettre en débat l’un des projets les plus climaticides et destructeurs du moment en France

  • Forum des associations de Clermont-Ferrand le samedi 7 septembre au jardin Lecoq

  • Pourquoi PDDNE ?

    Parce que nous touchons nos limites : l’usage que nous faisons des ressources naturelles dépasse de beaucoup leur quantité et leur capacité de restauration, érosion calculée en termes d’« empreinte écologique », dès 1962, au Canada.

    Parce que nous aggravons les effets de notre présence sur terre en développant nombre de poisons que les régulations naturelles ne savent pas traiter : pesticides de toutes sortes, plantes génétiquement modifiées, radionucléides, gaz nouveaux, nanomatériaux, ondes électromagnétiques.

    Parce que nous exploitons des ressources qui ne sont pas renouvelables, le pétrole aussi bien que l’uranium d’ailleurs, et que nous en répandons d’autres dans notre environnement qui restaient confinées, comme l’amiante toujours pas déclarée dangereuse au niveau international.

    Parce que le développement démographique se poursuit alors que nous faisons tout pour nuire à nos descendants en leur léguant un environnement rétréci et dangereusement pollué, dont les effets néfastes sur la santé sont déjà démontrés, maladies émergentes, cancers, etc.

    Parce que le bon sens et la réflexion semblent oubliés de nos responsables, élus, financiers, et même chercheurs, en dehors des lanceurs d’alerte si maltraités par lesdits responsables.

    Parce que, malgré l’abondance actuelle des ONG environnementales, dont la première, WWF, fut créée par les puissants pour protéger, entre autres, leurs terrains de chasse, malgré la diversité de leurs actions et l’inventivité de leurs interventions, il est toujours nécessaire d’agir au niveau local.

    Parce que, enfin, il n’y a pas de réflexion sans liberté d’esprit, et pas de liberté sans indépendance financière. Notre liberté d’action ce sont nos adhérents, c’est vous !

  • Communiqué Confédération Paysanne du 24 janvier 2024