Environnement

  • Vente directe à la ferme !




    objet : Lancement des ventes directes

    Vente directe à la ferme !Venez retrouver les légumes de Sarlièvetous les vendredisde 16h à 18h30sur le rond-point du Zénith à Cournon La première vente aura lieu ce vendredi 20 septembre, nous vous attendons nombreux et nombreuses pour soutenir ce lancement !Ferme de SarlièvePlaine de Sarliève, 63800, CournonCet email a été envoyé à roger.anglaret@orange.fr.Vous avez reçu cet email parce que vous vous êtes inscrit à notre newsletter.Se désinscrire
  • Grand débat public sur la mine d’Echassières

    Grand débat public sur la mine d’Echassières

    Article de La Montagne du 18 février 2024

  • Pour un moratoire d’apaisement sur l’A69

    Le 26 octobre 2014, Rémi Fraisse, botaniste de 21 ans, perdait la vie sur la ZAD de Sivens, dans le Tarn, tué par la grenade d’un gendarme. Un an plus tard, l’État abandonnait le projet initial de barrage.

    Aujourd’hui, la nature reprend ses droits sur le site. Le militaire auteur du tir a bénéficié d’un non-lieu. La justice a reconnu la responsabilité sans faute de l’État et l’a condamné à indemniser la famille du jeune homme.

    Presque dix ans plus tard, on peut se demander quelles leçons ont été tirées par les services de l’État dans leur mission de protection de l’intérêt général et de l’ordre public quand on voit ce qu’il se passe autour du chantier de l’A69, cette autoroute contestée entre Castres et Toulouse.

    Intervention la nuit de gendarmes pour sécuriser l’abattage d’arbres, à coups de tirs de grenades lacrymogènes ; chute de 8 mètres d’un militant depuis un fortin construit entre les branches lors de l’évacuation d’une ZAD anti-A69. Mais aussi irruption de personnes cagoulées au domicile d’une famille vivant dans une maison menacée par le chantier, suivie de l’incendie de leur portail et le début de mise à feu de leur voiture.

    Plusieurs actes de sabotage ont par ailleurs été revendiqués contre le chantier (engins brûlés, incendie du coffrage de la pile d’un pont), une voiture de police municipale a été visée et un vigile pris à partie par des personnes identifiées comme zadistes.

    Plus les travaux de l’autoroute avancent, plus les tensions s’aggravent sur place. Des personnes physiques semblent désormais directement menacées. Comment arrêter cette spirale de violences ?

    En janvier 2018, le premier ministre d’alors, Édouard Philippe, avait annoncé l’abandon du projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, en Loire-Atlantique, en raison du « contexte d’opposition exacerbée entre deux parties presque égales de la population ». Cette décision «exceptionnelle pour une situation locale exceptionnelle » était alors « une décision de raison et d’apaisement dans un contexte local tendu ».  

    Le président de la République s’appelait Emmanuel Macron. Six ans plus tard, la question se pose désormais de savoir s’il sera capable d’une nouvelle décision d’apaisement : un moratoire afin de remettre en débat l’un des projets les plus climaticides et destructeurs du moment en France

  • Communiqué Confédération Paysanne du 24 janvier 2024

  • PISSEURS de GLYPHOSATES suite

    SUITE DE LA CAMPAGNE des PISSEURS DE GLYPHOSATES

    Ci dessous, le communiqué des avocats mandaté par les « pisseurs de glyphosate » et qui ont porté plainte au vu des analyses confirmant leur contamination par ce pesticide. Plusieurs adhérents de Puy de Dôme Nature Environnement en font partie.

    On lâche rien !

    Amicalement.

    Roger

    Il serait bien de le diffuser dans vos réseaux de médias et à celles et
    ceux qui ont participé à la campagne de prélèvement.
    Nous ne lâcherons pas l’affaire!!!

    Des possibilités de continuer la lutte juridique existent, nous saurons
    les mettre en œuvre.
    Une AG nationale des coordinateurs et coordinatrices se réunira le 2
    décembre à Toulouse et en visio. Il y sera décidé la suite à donner.
    Amitiés
    Dominique Masset

    Communique de la campagne Glyphosate France:cliquez çi dessous

  • Une saga des luttes contre l’enfouissement des déchets des centrales nucléaires

    Voici le lien du documentaire « Notre terre mourra proprement » (ce qui
    concerne Saint Priest la Prugne c’est entre la minute 17 et la minute 26)
    Cliquez çi dessous:
    https://www.google.com/search?client=firefox-b-d&q=la+terre+mourra+proprement#fpstate=ive&vld=cid:1f0d05e9,vid:G-dvPRtFGGY

  • La centrale nucléaire du Bugey totalement à l’arrêt

    Black-out à la centrale nucléaire du Bugey (Ain). Depuis vendredi 29 avril et jusqu’à ce lundi 2 mai au moins, les quatre réacteurs de 900 mégawatts (MW) du site sont à l’arrêt. « Du jamais vu. Le site ne produit donc plus d’électricité mais en consomme [la production de] 94 MW pour le refroidissement des réacteurs arrêtés », indique Joël Guerry, du collectif Sortir du nucléaire Bugey, dans un communiqué diffusé samedi 30 avril.

    La centrale a été stoppée « en raison de travaux planifiés », a précisé EDF au quotidien régional Le Progrès. D’après le collectif antinucléaire, Bugey 2 est en maintenance jusqu’au 15 mai ; Bugey 3 et Bugey 4 ont été arrêtés pour contrôle des tuyauteries du circuit d’injection de sécurité, suite à la découverte de corrosions et de fissures sur une petite dizaine de réacteurs du parc ; et Bugey 5, qui aurait dû redémarrer le 26 février suite à sa quatrième visite décennale, n’avait toujours pas été reconnecté au réseau lundi après-midi. « EDF ne communique pas sur les problèmes qu’elle rencontre avec ce réacteur depuis le 26 février », s’inquiète Joël Guerry.

    Source: Reporterre, Collectif sortir du nucléaire

  • Communiqué – [Starlink] le FarWeb stoppé par le Conseil d’Etat

    Communiqué de presse du 6 avril 2022

    Starlink : le FarWeb stoppé par le Conseil d’Etat
    #DavidcontreGoliath

    Par une décision datée du 5 avril 2022, le Conseil d’Etat, saisi par les associations PRIARTEM et Agir pour l’Environnement défendues par Maîtres François Lafforgue et Hermine Baron du cabinet TTLA, a annulé la décision de l’ARCEP d’accorder à la société Starlink des fréquences pour le déploiement d’un réseau ouvert au public lui permettant de fournir un accès à internet fixe par satellite.

    Faute d’avoir conduit une concertation du public permettant d’évaluer les incidences sur le marché de la fourniture d’accès à internet à haut débit susceptible d’affecter les intérêts des utilisateurs finaux, le Conseil d’Etat a accédé à la demande des associations.

    PRIARTEM et Agir pour l’Environnement saluent cette décision du Conseil d’Etat.

    Pour Sophie Pelletier, présidente de PRIARTEM, « à l’instar de la 5G, par mauvaise habitude, les pouvoirs publics estiment que l’évaluation environnementale et sanitaire est au mieux un passage obligé, au pire une concession procédurale dont on peut se passer. Il est temps que les pouvoirs publics cessent de passer en force sur de tels sujets et acceptent enfin le nécessaire débat public. »

    Les associations appellent le gouvernement à conduire le débat public qui s’impose avant tout déploiement de l’internet par satellites.

    Pour Stéphen Kerckhove, directeur général d’Agir pour l’Environnement, « avec plusieurs projets de constellations comptant des dizaines de milliers de satellites rendant toute observation du ciel étoilé impossible tout en faisant de l’espace une poubelle en devenir pour débris spatiaux, il est urgent d’édicter une réglementation internationale visant à faire du ciel étoilé un patrimoine mondiale de l’Humanité, préservé des appétits des acteurs du FarWeb ».

    Pour Maître François Lafforgue, avocat des associations, « il n’y a rien d’inéluctable à ce que des opérateurs aussi puissants que Starlink s’affranchissent des règles élémentaires de droit. La décision du Conseil d’Etat est une sage décision car elle rappelle à l’ARCEP qu’il n’est jamais bon de prendre des décisions hâtives aux conséquences importantes. »

    CONTACT

    www.priartem.fr

  • Parc voltaïque dans la carrière des Côtes de Clermont

    notre contribution, en opposition, à l’enquête publique de 2022

  • Qui est Youri Bandajevski ?

    Nous avons annoncé sa venue à Clermont-Ferrand pour une conférence, le 4 décembre 2018, « Tchernobyl continue ».
    CE médecin soviétique a tout de suite compris l’ampleur du désastre de Tchernobyl et s’est attaché à en étudier les conséquences sanitaires. Non sans difficultés.
    La CRIIRAD nous donne un condensé de sa biographie